samedi 4 octobre 2008

Sous le feu ennemi no 4 de 4. a


=========+ 7ÈME/10 +=======================





- Le lieutenant Dan et le sergent Lubrun avait été de bon amis durant leurs enfance,il habitait le même petit village genre far-wouest, Dan avait précisément deux mois jour pour jour plus âgé que Lubrun. Ils s'était perdue de vue durant plusieurs années, un jour, par le plus grand des hasard le sergent devait dans les lointaines provinces de l'est suivre une perfection concernent différents explosifs dont la technologie devenait très avancée. Le lieutenant Dan étais l'instructeur en chef des ingénieurs de campagnes d'où il pratiquait sa profession depuis douze ans. Il s'ennuyait dans les montagnes et il suivit Lubrun dans ces grandes aventures. Le lieutenant brevetait des bombes ,mines, de toute sortes ,selon Lubrun, elles était devenues essentiel a ses missions. Dan,le plus âgé était en quelle que sorte le parrain de la section de reconnaissance. -

-Le détachement du sergent venait de gagner une heure sur l'horaire lorsque Dan prit la désistion de piloter lui même l'hélicoptère griffon du commandant. Tout les membres sont prêt pour le décolage ,destination Tango ! L'opération Vengeance Sévère venait tout juste de prendre son envol. La section avait bâtissé ensemble le nom de l'opération suite a la mort d'un de leur homme lors de la dernière mission. Après trente cinq minute de vol tactique,le lieutenant manoeuvrait son engin adroitement, lentement et silencieusement a deux kilomètre de Tango, a très basse altitude, il commençait a effectuer de faux débarquement en cercle a trois reprises ,dans trois secteurs diffèrents.
Cela a pour effets de brouiller tout observateurs ennemi qui pourrait transmettre la coordonnée de notre position de débarquement-
Dans une très petite clairière, la section établissait un périmètre de sécurité en trois cent soixante degrés autour de l'appareil ,ils y demeurèrent durant une heure,vigilant, a l'écoute ,dans le plus grand silence. Le sergent et le caporal-chef Balto étudièrent une dernière fois l'unique carte des lieus, ont s'apprêtait a évoluer sur Whisky,un petit ruisseaux situé a la moitié de la distance a parcourir pour ce rendre sur Hôtel, le croisement de route en question.-


-Nous avons adopté la formation tête de flèche pour débuter les neuf kilomètre qui nous séparait de notre objectif, la température était clémente aucun vents,pas besoin de vision de nuit la lune était notre axe d'avance. Le terrain était idéal, boisés propre ,rocheux par endroit , la sécurité étais a son plus haut degrés. Comme toujours,Lubrun menait le pas,il s'était fabriqué dans son casque un appareil qui décollait ses oreilles ça les développait, il augmentait considérablement son sens auditif ,la bouche toute grande ouverte ,d'un pas léger il n'observait qu'un seul point fixe a l'avant.-

-Souvent,durant les pauses il allait voir le patrouilleur a cent cinquante mètre de lui pour lui dire de changer de chaussettes car il l'avait entendu pataugé dans l'eau. Le plus grand carisme de la section était la discipline du silence, le silence selon Lubrun est la meilleur arme, la clef de la réussite. Il avait entraîné vigoureusement ses hommes durant deux ans pour tout réaliser dans le plus total des silences, nous communiquions par gestes et signes. Nous avons progressé de quatre kilomètre dans la plus grande concentration. L'ordre de la marche était toujours le même, le groupe alpha a droite du sergent composer du caporal Taublake,Beauchamp et Presseault, le groupe bravo a gauche avec le caporal Monette, Balto , Dan et Bergeron. Presseault et Monette contait les pas,a chaque fois quil avait marché cent vingt pas, il fessait un petit noeud dans une corde , cela indiquait que nous avions parcourue cent mètre sur le terrain.-


-Rendue a Whisky,le petit ruisseau, Lubrun déploya ses sécurités pour prendre une fois de plus une position défensive a l'écoute des lieux. Environ quatre heure de marche avant d'atteindre l'objectif final, les gars du détachement confiant et motivé s'apprêtent a accomplirent leur mission. A six cent mètre de Hôtel, Lubrun ordonnât a sa section la formation en ligne étendue, le professionnalisme était au plus haut niveau, les armes pointait et couvrait tout les arcs de tirs. Le sergent droit devant lui, a 65 mètre de distance aperçu plusieurs soldats qui creusait ici et la dans le sol , l'un d'un cherchait a le pointer de son arme ne laissant aucune chance au sergent qui ouvri immédiatement un tir mortelle a répétition. Il chargeait toujours son premier magasin avec des balles traceuses pour corriger et identifier son tir sur la cible. Il fallût trois seconde pour chopper les six gars devant nous lorsque Balto mit sa mitrailleuse en batterie avec des rafales précisent de quatre a cinq projectiles, Lubrun avait déjà communiqué via sa radio le point exacte du contact,manipulant toute l'attention du quartier général et son mortier 81mm qui passa en phase def com quatre.-

-Les membres de l'équipe de reconnaissance étais tous immobile comme des statues, en formation l'arme a blok devant la fumée qui commençait a ce disperser lentement sur la scène qu'il venait d'interpréter. Un tir adverse très nourrit, fut la riposte inattendue qui prenait le groupe droit de la section dans une embuscade sérieuse, le sergent ordonnât a la radio un tir de trois obus de repérage sur cibles aux quatre pelotons de mortiers qu'il avait pour le supporter, avec les coordonnés de l'emplacement ennemi. Taublake avait été touché a plusieurs reprise ,il étais au sol et tirait des coups de feu en direction de l'ennemi ,le caporal Presseault lansa une fumigène dans le bon sens du vent ,l'épaisse fumée rouge qui en dégageait avait pour effets de protéger sa retraite et celle de son groupe temporairement pour consolider leurs actions. Le caporal beauchamp, debout tirait sur tout ce qui bougeait malgré le tir d'enfilade a lequel elle étais exposer ,Lubrun avait ,la ,besoin de son tir de couverture ,au même moment, des dizaines de fusées éclairantes lancé par l'ennemi a deux cent mètre de distances allumèrent dans le ciel ,aussitôt le caporal Bergeron sur le flan gauche, entreprit un tir de défilade rapide pour protéger le flan droit ,il clouait la cible au sol, Le lieutenant, d'un tir de lance roquette 72mm affaiblie considérablement l'initiative de l'ennemi .Les fusées éclairantes nous laissais bien voir le caporal Monette ,qui avait planter un de ses sabres dans le sol a ses pieds , tirer sans interruptions sur des centaines de silhouettes qui progressait en direction ou Lubrun avait commander son tir de repérage. Tout le personnel abattais a volonté plusieurs soldats adverse, il en arrivait toujours plus de partout, Lubrun devait agir vite ,les munitions s'appauvrissait rapidement avec une telle quantités de cibles ,pour la première fois il devait fuir avec ses hommes ou tout étais fini en trois minute.-

- La salve d'obus exiger par le sergent tombât pile ,la ou il l'avait espérer, avec un petit sourire en coin,Lubrun postillonna aux mortiers dans sa radio... tir d'efficacité tir d'efficacité feu pour tuer feu rapide feu maintenant !!


la grande final demain ...

1 commentaire:

Narvik a dit…

Oui! J'aurais bien aimé que Balto,Rick et Dan m'encourage de leurs commentaires mais,les gens sont occupés ...


dissons que j'ai compris de ne plus faire de trop long texte :)