samedi 27 septembre 2008

Sous le feu ennemi no 2 de 4.

5EME /10 *********************************

-Taublake R , Rondeau D
-Bergeron E , Monette J
-Presseault Y , Beauchamp I
-Balto S et Lubrun J ,

C'était les noms des gars qui depuis des années formèrent le détachement de reconnaissance de Lubrun. --

Tout c'est gars la avait dix ans et plus de service , tous était brillant dans leur discipline, certain venait de l'antichar, d'autres du régiment aéroporté etc. Lubrun les avait tous recruté dans son unité spécial , ils était une équipe qui avait l'habitude de travailler ensemble. Chacun avait sa place dans l'ordre de marche du sergent, il numérotait ses hommes part chiffre, les pairs avait les fusils d'assaut, grenades a fragmentation et lance roquette. Les impairs avait les mitrailleuses polyvalentes , fumigènes et explosif ,il séparait sa section en deux groupes. Il plaçait ces armes de façon a avoir la meilleur puissance de feu en cas de contacts. Lubrun utilisait des armes dont l'ennemie approvisionnait ses dernières en munitions, selon l'endroit ou ils opérait, en général ,du calibre 7.62mm.--

Aux yeux des membres du bataillon, Les hommes de Lubrun ressemblait a d'étranges épouvantails sorti tout droit de ce qui séduisait l'enferre. Ils avait tous des foulards provenant d'uniformes de tout sorte attacher a leur articulations ,ils était équipé jusqu'aux dents avec des armes plus ou moins religieuses dont ils avait récoltés dans le temps, chacun avait sa couleur de combat. Chaque fois qu'ont leur posait des questions, ils répétèrent toujours la même chose, qu'il venait de participer a une chasse d'animaux féroces pour les méchouis de la royauté. Lubrun avait un adjoint dans sa section, Balto! Ils était également son meilleur ami, depuis vingt quatre ans ils ne ce séparèrent jamais
,le caporal-chef Balto s'occupait de la discipline dans la section, il s'assurait du bon fonctionnement des armes et munitions, il manipulait toute les organisations de la section. Lui Balto, ça spécialité reposait sur sa façon d'aligner sa mitrailleuse polyvalente et de faire feu avec la plus implacable précisions. Ce gars la avait un rapporteur d'angles dans chaque yeux, il pouvait tirer sur une marmotte mouvante a quatre cent mètre de distance et a chaque fois, il fessait mouche!--


--Balto et Lubrun était la pair d'as que tout les commandants de bataillons rêvait d'avoir a leurs mains.--


Encore une fois, ce matin la, Lubrun devait informe son unité de la mission a la quel ils était impliquer, comme d'habitude Balto dormait encore, avec Ginger! sa mitrailleuse magique qui était toujours charger a bloc. Le sergent savait comment le réveiller, car Balto gardait toujours le doigt sur la détente. Avec du café Irlandat ,Lubrun exposa les faits a son adjoint, il avait deux heur,pour réunir tout les boys avec leur bardas et leur peintures de guerre bien fraîche aux visage. Profitant de cette ordres, Jacquelain rendait visite au peloton de mortier,il avait servit le mortier 81mm durant trois ans. Il discutait avec ces derniers de la confiance qu'il avait en eux de supporter ces actions de leur tir indirect précis et rapide lors d'engagement. Le sergent Lubrun d'un pas fière, passât en revue sa prestigieuse équipe, il inspecta sommairement les armes et attirails personnels de chacun, avec une petite tape et un beau sourire. Aucun n'avait d'insignes ,de noms même pas de crayons, ils était nue d'identités. --


--Lubrun les accueillait tous comme un père. Ils s'assirent en indien au sol, devant un admirable plan fait dans le sable avec des cailloux et petits bouts de bois, attentif aux instructions de leurs sergent qui comme toujours trouva les mots précis pour que tout le monde soit bien orienter. Nous étions en 1999
et les tentions au proche-Origant était sur le bord de basculer dans un avenir guerrière sans précèdent, le hommes de Lubrun sentait tous la soupe chaude ...





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vendredi 26 septembre 2008

-- http://www.youtube.com/watch?v=AxZGCib_bv8&NR=1 --

Sous le feu ennemi no1 de 4 .

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4ème/10 Encore une fois Lubrun.


C'était un jeudi, une belle matinée d'automne, fidèle a ses habitudes le sergent Lubrun arriva quinze minute
avant son temps,au quartier général de son campement de basse, pour y recevoir un groupe d'ordres dont il avait reçu la dépêche le matin même. Comme tout le monde connaissait bien Lubrun,il se présenta légèrement friper de la veille avec la barbe minutieusement mature , il entra et regarda radicalement dans les yeux sont commandent de bataillon aux épinglettes d'or, qui se tenait déjà debout devant son bureau.
Le vielle homme ne rendit aucun commentaire sur l'apparence absente de disciple du sergent et répondit vigoureusement au salut que celui-ci venait démettre.
Le vielle homme servit un Scotch au sergent ,ils bavardèrent quelque instant des missions antérieurs complétées avec un brillant succès. Le commandent de bataillon pointa la grande carte topographique de la région, fixer sur un petit trépied dans le coin de la pièce,et donnant l'ordre a Lubrun de reconnaître et d'établir un périmètre de sécurité sur un croisement de route entourer de boiser montagneux et accidente. Un convoie d'aide humanitaire devait y passer et le sergent avec son petit détachement avait pour mission de protégé ce train routier essentiel a la survie des hardes de réfugier mal en point, cantonnés sur le flan sud de la frontière. Le haut commandement avait envisager que ce croisement était le seul endroit ou l'ennemi pouvait s'emparer du précieux butin. Ils étudièrent la carte longuement, les instructions de coordinations du vielle homme était simple,Lubrun avait carte blanche pour tout ce qui concernait le groupement des taches et la réalisation de la mission. Lubrun était en alerte ,a douze heure d'avis avant le départ pour sa petite excursion.



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La reconnaissance était une des première phase de la guerre,elle consistait a aller espionner l'ennemi sur sa position,prendre toute les informations nécessaires pour par la suite fournir tout les indices avantageux au commandant de bataillon, qui avec ces renseignement pertinent élaborait son plan d'attaque. La plus part du temps,nous étions déployé en territoire hostile ou nous dévions patrouiller de longues heure comme des fantômes. Lubrun était un spécialiste de la reconnaissance,il était médailler d'or en ce qui concernait l'art de voir sans être vue . Tout le monde au bataillon l'appelait legendairement ,le Serpent Rat! Il était le seul a être capable d'allumer la cigarette d'un soldat ennemi avant même qu'il s'apercevait de la supercherie ,le pauvre avait déjà l'arme de Lubrun bien enfonce dans la gorge.Le sergent avait apprit et développer cette technique d'un vieux sorcier indien lors de la guerre de Kananawaga -saker,ou religieusement Lubrun avait fabriquer son couteau avec un vielle ossement sacre.
Le sergent avait une idéologie très particulière de la guerre , personne n'avait vue quelqu'un respecter autant son ennemi. Il disait toujours que l'ennemi n'était pas folle !
Jamais il ne fessait souffrir son rival ,son couteau unique au monde avait deux petites pointes a deux pouce de distance entres, au lieu d'une lame conventionnel. Lubrun avait une technique irréprochable pour paralyser instantanément son adversaire ,il le piquait fatalement au centre de la gorge rendant celui ci radicalement silencieux , il appelai ça,la poerta du soleil. De son bras gauche il empoigna ce dernier fortement pour qu'il se sente plus en confiance lors du dernier passage, puis il le déposait lentement au sol avec le plus grand des respects. Chaque fois que l'ont progressait sur un théâtre opérationnelle et que nous voyons les crocs du diable dans la gorge d'un soldat adverse,nous savions que Lubrun avait signer son autographe.



La plus grand talent naturelle du sergent Lubrun, était la vitesse a la qu'elle il se déplaçait d'un point a l'autre,Pour vous citez qu'un seul exemple, a treize ans,dans les cadets de l'armée,Jacquelain avait gagner le course ton régimentaire .Il avait laisser loin derrière lui tout les plus âgées,ce qui en disait long sur son future. Lorsqu'il s'enrôla dans l'armée, le colossal adjudant maître ce demandait se que pouvait bien faire se petit soldat de plomb aux allures de bambin qui venait légèrement ternir l'image de sa chère unité. Durant une course a obstacle ,tout le monde avait remarquer que Lubrun courrait exactement comme une autruche qui fouillait son prédateur ! mais ce qui était le plus étonnant,c'était de voir a qu'elle vitesse il le fessait. Le soldat Lubrun était le premier coureur du bataillon et gardait ce statue avec honneur durant quatorze ans.

La plus grande qualité de Lubrun reposait dans la facilitée a laquelle il naviguait en foret. Avec une boussole et une carte, il atteignait toujours le premier et le plus précisément son objectif,la plus part du temps,sa boussole restait dans ses poches.Il suivait sa mémoire ou toute les courbes de nivelassions,obstacles, point de repères ,coordonnées, etc ,était imprimer instinctivement en lui, . Tout les membres de la patrouille suivait Lubrun dans sa grande maturité a déambuler sur le terrain. Ils évolueraient toujours sécuritérement sous les directives du sergent aguerrit qui anticipait efficacement les menaces possibles d'embuscades toujours présente ,dans l'immense diapo rama qu'ils avait a couvrir devant eux. Ce qui était le plus remarquable,c'était avec qu'elle attitude Le sergent effectuait ces devoirs ,il avait l'air d'un enfant qui jouait ! il s'amusait ...
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samedi 20 septembre 2008

Dans une tranchée.




3eme/10 Lubrun,a son poste de travail qu'il avait bâtisse la grande tranchée, pour des raisons fort évidentes ,regardait passer le fruit de sa production qui déferlait a 365 pi/min tout en s'assurent que la machinerie désuète dont il était responsable effectuait les taches prévues. Il savait que s'il manquait d'attention ou ce livrait a des activités autres que le bon fonctionnement exige il pouvait mettre en péril le bon déroulement de la chaîne si fragile de sa grande entreprise. Ce n'était pas de la tarte! faire du gâteux a-t-il apprit spontanément,a ses dépends, a la moindre petites erreurs dans la formulation des ingrédients provoque des effets très désagréable sur le précieux produit. Ont pouvait tout bafouer en une seul petite inattention ou modification quelconque. Cela avait des répercutions immédiates et rapides émanant des superviseurs qui était passer maître dans l'art de la discipline,dont Jacquelain avait remarque précocement, ayant déjà vue l'orage de plus près Lubrun trouvait faible une telle réaction dégagé par finalement ,un si petit évènement . Si ce n'étais du a une boussole mécanique déficiente ou a la maladresse d'un opérateur , la plus part du temps, chaque petites erreurs causait un arrêt de production qui entraînait du travail supplémentaire ou le doit restait figer sur le bouton Panique. De la pâte a gâteaux partout sur le planché ,les murs plein de sucre, de la bouette crémeuse qui durcissait rapidement a profusion! Ont pouvait voir le désagrément de l'arrêt souvent inattendu dans le visage en sueur des confrères de travail qui s'afférait a tout nettoyer a l'aide de grattoirs rouille, pics et pioches toute aussi arkahiques les uns que les autres . Sous les regards visiblement explosif des officiers qui hurlait a la remise en marche et a la détection du coupable qui avait causse un léger retard dans l'horaire soigneusement établie . Haaah ! notre soldat Lubrun attentionné a se qu'il effectuait m'était tout en oeuvre pour ne pas compromettre sa période de probation a la quel il était soumis. Tout en ce dirigent vers la cantine,endroit qu'il avait nommer le mess ,Jacquelain contemplait d'un pas visiblement curieux les activités routinières de son récent engagement aux allures qui lui fessait penser a un endroit ou il serrait facile de réaliser un film d'horreur ! Tout étais pele-mele ,des tuyaux qui n'en portait que le nom ,des files partout des chariots élévateurs gigantesques tournant les entre coins défrichés a vive allure charger en paresseux ,du bruit qui siffle différemment d'un secteurs a l'autre ont apercevait même des vautours voler en cercle au dessus de nos casquettes de plastiques, a de rares occasion un rayon de soleil venait temporairement ruiner notre vision ,des miettes,des millions de miettes en poussière,tousse s'entende pour ne jamais déclencher les sprinklers en cas de feu . Dans son mess,seul petit endroit fleuri du plan,Lubrun profitait de sa courte pose pour faire connaissance avec ses nouveaux collègues de travail, c'était agréable de voir la bonne ambiance entre les employées et la direction. A chaque fin de quart,les employées ce dirigeait vers leurs cassiers en slogans des chants rythmés tout le parcourt du long trajet pour s'y changer ,après douze heure de travail intense ils défilèrent tous très heureux et joyeux en file indienne. Dans le prochain volet,Lubrun invente une nouvelle sorte de gâteaux en fessant une erreur d'inattention ho oui! une nouvelle recette qui coûte moins chère a produire et meilleur au goût.

La bataille de Narvik



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Narvik 2002 tactical ww2 online games.

mercredi 17 septembre 2008


Je ne sais pas pour vous, mais lorsque je suis dans le brouillard, je ralentis. Moins j'ai de visibilité, plus je vais lentement. Dans l'entreprise c'est exactement la même chose. Manque de visibilité égale manque de motivation. Si je ne sais pas à quoi je sers, quel est mon rôle, quels sont mes objectifs, mais aussi quelles sont les valeurs de l'entreprise, ses projets... je ne peux pas savoir où je vais, je ne sais pas quelle est la bonne direction, et donc je ralentis.La clarté des objectifs est particulièrement importante, rappelons que les objectifs doivent être réalisables, atteignables et en même temps ne doivent pas être trop faibles. http://www.jecommunique.com/management_la_motivation.htm

vendredi 12 septembre 2008

Site en construction ...

2ème / 10 -Le sergent J. Lubrun 642 , Jacquelain de
son prénom, n'avait même pas fini de remplir les dernières formalités pour sa libération des forces de Vega ,qu'il pensait déjà a son relogement et sa nouvelle orientation professionnel. Avec sa femme Katiuvik, dont il était tomber amoureux au début des années 90 qu'elle que part sur les plages d'Islande, depuis 98, ils formèrent une belle petite famille de trois avec leur fils tout blond ,Jonik. La famille ,ensemble fit le choix d'une ville aux attraits historiques donc les nombreux monuments nous rappel l'époque des conflits entres les habits bleues et rouges,merveilleuse cite près du richelieu ou tout était calme ,loin des sirènes et bruits polluent de la grande metropolis. Aussitôt arriver dans leur nouvelle maison, Jacquelain,entreprit immédiatement sa recherche d'emploi. Après sa première journée de recherche,il reçut a la maison un appel ou il était convoque pour une entrevue. Notre soldat Lubrun décroche l'emploie ! Son nouveau gagne pain,consiste dans la fabrication de biscuits ,gâteaux et petites confiseries de toutes sortes. Une très très grandes usine établie depuis environ 50 ans ou dans plusieurs sortes de convoyeurs ,le long du port de metropolis nous y melangions un rammasie d'ingredients allant du dextrose,a la farine, eau,laxatif etc etc ,pour ensuite faire cuire a des températures extrêmes .Oui ,tout était bien organise ,de la réception a l'expédition, de la production a la vente, tout fonctionnait comme sur des roulettes 24h sur 24 7 jours sur 7 . Jacquelain , dans un nouveau monde syndicaliste ,était fier de faire partie d'une organisation aussi bien structure,il avait un salaire beaucoup plus supérieur a la moyenne ,avec de nombreux avantages sociaux. Dans le prochain chapitre, Jacquelain raconte comment il cherche de la motivation et de la broche pour faire des gâteaux ...