samedi 20 septembre 2008

Dans une tranchée.




3eme/10 Lubrun,a son poste de travail qu'il avait bâtisse la grande tranchée, pour des raisons fort évidentes ,regardait passer le fruit de sa production qui déferlait a 365 pi/min tout en s'assurent que la machinerie désuète dont il était responsable effectuait les taches prévues. Il savait que s'il manquait d'attention ou ce livrait a des activités autres que le bon fonctionnement exige il pouvait mettre en péril le bon déroulement de la chaîne si fragile de sa grande entreprise. Ce n'était pas de la tarte! faire du gâteux a-t-il apprit spontanément,a ses dépends, a la moindre petites erreurs dans la formulation des ingrédients provoque des effets très désagréable sur le précieux produit. Ont pouvait tout bafouer en une seul petite inattention ou modification quelconque. Cela avait des répercutions immédiates et rapides émanant des superviseurs qui était passer maître dans l'art de la discipline,dont Jacquelain avait remarque précocement, ayant déjà vue l'orage de plus près Lubrun trouvait faible une telle réaction dégagé par finalement ,un si petit évènement . Si ce n'étais du a une boussole mécanique déficiente ou a la maladresse d'un opérateur , la plus part du temps, chaque petites erreurs causait un arrêt de production qui entraînait du travail supplémentaire ou le doit restait figer sur le bouton Panique. De la pâte a gâteaux partout sur le planché ,les murs plein de sucre, de la bouette crémeuse qui durcissait rapidement a profusion! Ont pouvait voir le désagrément de l'arrêt souvent inattendu dans le visage en sueur des confrères de travail qui s'afférait a tout nettoyer a l'aide de grattoirs rouille, pics et pioches toute aussi arkahiques les uns que les autres . Sous les regards visiblement explosif des officiers qui hurlait a la remise en marche et a la détection du coupable qui avait causse un léger retard dans l'horaire soigneusement établie . Haaah ! notre soldat Lubrun attentionné a se qu'il effectuait m'était tout en oeuvre pour ne pas compromettre sa période de probation a la quel il était soumis. Tout en ce dirigent vers la cantine,endroit qu'il avait nommer le mess ,Jacquelain contemplait d'un pas visiblement curieux les activités routinières de son récent engagement aux allures qui lui fessait penser a un endroit ou il serrait facile de réaliser un film d'horreur ! Tout étais pele-mele ,des tuyaux qui n'en portait que le nom ,des files partout des chariots élévateurs gigantesques tournant les entre coins défrichés a vive allure charger en paresseux ,du bruit qui siffle différemment d'un secteurs a l'autre ont apercevait même des vautours voler en cercle au dessus de nos casquettes de plastiques, a de rares occasion un rayon de soleil venait temporairement ruiner notre vision ,des miettes,des millions de miettes en poussière,tousse s'entende pour ne jamais déclencher les sprinklers en cas de feu . Dans son mess,seul petit endroit fleuri du plan,Lubrun profitait de sa courte pose pour faire connaissance avec ses nouveaux collègues de travail, c'était agréable de voir la bonne ambiance entre les employées et la direction. A chaque fin de quart,les employées ce dirigeait vers leurs cassiers en slogans des chants rythmés tout le parcourt du long trajet pour s'y changer ,après douze heure de travail intense ils défilèrent tous très heureux et joyeux en file indienne. Dans le prochain volet,Lubrun invente une nouvelle sorte de gâteaux en fessant une erreur d'inattention ho oui! une nouvelle recette qui coûte moins chère a produire et meilleur au goût.

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