L'été de mes 20 ans 2

Lorsque nous sommes arrivés sournoisement au poste de commandement des anglais, l'endroit était gardé par deux sentinelles qui faisaient les quatre cents pas a intervalle autour de leur périmètre de sécurité. Le poste de commandement anglais était une grande tente modulaire et a chaque extrémités,un véhicule de communication y étaient reliés avec les antennes déployés et tout le bordel. Sur le coté de la route en garnotte ou nous étions, il y avait une rizière de bois qui contournait le poste ennemi. J'ai demandé a Voyer d'allé se positionner dans la rizière entre le poste et le jeep, de façon a ce qu'il ait une bonne position de tir pour qu'il puisse couvrir mes arrières parce que moi, j'avais la ferme intention d'envahir les quartiers occupé par le haut commandement du bataillon anglais! Voyer me dit -Tu vas pas entré là dedans, et pour faire quoi ? -- Ça! je vais voir... je vais décider en entrant a l'intérieur, et, dans le pire des cas! en ouvrant la toile ils sont là et je l'aient mitrailles ! Au moindre coup de feu toi Foisy tu t'engage avec la jeep dans le milieux de la route,et tu reste les deux main sur le volant, je n'aurais qu'a plonger a l'intérieur avec Voyer dans le replis et tu n'auras qu'a presser sur le champi. Si quelqu'un ce pointe et te poses des questions sur ta présence lorsque que nous serons en position Voyer et moi, laisse le venir... fait lui perdre du temps ,tu comprends ,tu dis que tu conduit un officier exemple! Et toi Voyer,tu ne dois intervenir que lorsque je sort de la tente modulaire.

Lorsque la sentinelle arriva a notre hauteur, Voyer pris position dans le boisé comme convenue, entre l'objectif et la jeep. Au second tour de sentinelle je me suis dirigé en plein jour a petit sauts d'oiseaux devant l'entrée du poste de commandement anglais. Cela faisait sept min que nous occupions le périmètre et j'entrais déjà a l'intérieur, je ne pensais a rien, juste que je savais que je courais et me faufilais plus vite que les autres ! A l'intérieur, des tables en bois avec les pattes repliables, immédiatement devant moi de l'autre coté de ces tables, un grand tableau. Sur ce grand tableau, des cartes topographiques!épinglées et marquées aux crayons feutres de différentes couleurs sur des feuilles de plastique transparentes ,avec toutes leurs positions,leurs plans d'attaques! leurs positions alternatives dans la retraite. Ils avaient leurs phases de guerres dessinées tactiquement, l'itinéraire de leurs patrouilles ainsi que leurs comptes rendues de patrouilles. Des documents sur les tables, des ordres de missions, touts les plans de guerre du bataillon anglais était là devant moi!. L'endroit était sombre, éclairé aux fanals, lorsque je m'affairais a tout voler, j'entendais les anglais emmètrent leurs communications a leurs patrouilles et les officiers discutés entre eux dans les véhicules de chaque extrémités. J'ai fais un rouleau avec tout les documents, je n'ai rien laissé aux anglais. En sortant rapidement de la grande tente, une des sentinelles discutait avec Foisy, l'anglais a été très surpris de me voir sortir du poste de commandement en le braquant avec mon fusil et d'ouvrir le feu dessus!!. J'ai crié a Voyer de sortir du boisé et de sauter dans le jeep. C'est a ce moment que les anglais sont sorti de leur bunker, on l'ait à fusillés comme des lapins en sautant dans notre jeep. Les anglais ont fait de même, il nous poursuivais, nous avions une mince longueur d'avance et nous avions du sortir de la route principale pour fuir la zone ennemie. L'adrénaline était au maximum lorsqu,on avait distancé pour de bon la dernière jeep qui nous poursuivait dans un sentier accidenté, une vraie chasse a l'homme! les anglais voulaient nous tuer !! De retour sur la route de garnotte, Foisy devait négocier avec une courbe mais il ne la jamais vue, il roulais trop vite et dans le milieux de la courbe la jeep dérapa dans l'clos. C'est sur mon coté que la jeep a renversé, j'ai frappé la vitre en avant avec mon front, a l'impacte le sol m'a éraflé la peau et je n'étais pas attaché puisque la ceinture de sécurité était non serviable. J'ai été éjecté au troisièmes tonneaux selon Voyer, il était attaché derrière moi. J'ai sentis le coup sur le coté mais je n'ai aucun souvenirs des tonneaux, je me suis levé en sacrant dans l'herbe a 25 mètre de la jeep qui était sur le coté, les gars étaient sonnés et ils cherchaient. Tout le matériels de la jeep étaient éparpillés aux quatre vents, personnes étaient blessés,nous avions tout ramassé notre matériel surtout, les précieux plans et on a remis la jeep sur la route, elle fonctionnait toujours!

Presque arrivé a notre quartier général je me suis mis a faire une commotion cérébrale, je perdais graduellement la mémoire, je divaguais complètement! les gars capotaient nous étions stressés!! Le capitaine aussi lorsque Foisy lui remettait les plans du bataillon anglais, jamais personne n'avait volé les plans de guerres dans les mains de l'état major d'un bataillon adverse. J'ai dû être évacué a l'hôpital sous observation durant 24 heure parce que j'avais perdu la map! C'était amusants les infirmières étaient très jolies, elles me dorlotaient chacun a leurs tours toutes les heures! De retour au camp de base le lendemain je me suis saoulé la gueule d'aplomb avec les autres, ont c'est réjouit d'avoir plantés les anglais. A la fin de l'exercice quelques semaines plus tard, nous attendions un cf-130 hercule,l'avion qui devait nous ramenés au Québec. Nous étions dans la tente de repos mon ami Balto et moi avec deux petites brunettes du 5ème ambulance de campagne qui semblaient vouloir faire la fête! J'ai tranché net en invitant celle que j'aimais le plus a l'extérieur, je l'ai invité dans l'autre tente et je lui a demandé si elle voulait faire l'amour avec moi, a cet instant elle était éblouissante! elle cherchait quoi dire, elle disait qu'il serait mieux d'attendre encore deux jours avant de retrouver son copain finalement,mais elle disait que ça la tentait beaucoup... Arrivé dans l'avion, dans le Hercule, comme par hasard ma petite brunette vient s'asseoir tout juste devant moi dans mes une heure,mine de rien, tiens tiens! au décollage de l'appareil elle s'est penché vers l'avant avec son petit regard féminin, de façon a emprisonné ma jambe droite entre ses cuisses, durant toutes les 50min du vol ou tout le monde dormait je me suis affairé a la caresser et la masturbé lentement et discrètement avec mon genou en faisant vibrer légèrement les nerfs de ma cheville comme elle me guidait. Elle a joui! dans le plus grand des silences, j'avais beaucoup de talents! En sortant de l'avion elle cherchait partout les toilettes, elle m'aimait bien cette petite s... ,brunette. Alors voila qui conclue de façon général les aventures du merveilleux été de mes 20 ans!

L'été de mes 20 ans

C'était un été merveilleux et dans quelques semaines j'allais avoir 20 ans ! Nous étions en 1989 dans les bois les plus infranchissables de la basse militaire de Gagetown, chez les anglais au Nouveau-Brunswick, là ou la terre est pure, dure, faite!! pour la guerre, comme en Afrique ! Cet été là nous étions a l'entraînement, nous simulions des opérations et manoeuvres de guerre. Cette nuit là je devais avec deux de mes amis faire la reconnaissance d'une route perdue en plein bois. C'était la première fois que j'avais un jeep ! j'étais le commandant d'un groupe de trois gars donc moi compris et ! nous avions un jeep juste pour nous! Aussi, pour la première fois nous avions a notre disposition des lunettes de vision de nuit adaptable a nos casques. C'était génial !! nous devions faire des kms dans un bois sale a n'en plus finir, les anglais nous attendais dans des tranchées et nous avions comme tache de les localiser et les allumer sur une embuscade, pour qu'ils s'entraînent. Foisy était notre chauffeur et Voyer Gosselin était le navigateur, et communicateur,une belle petite équipe!

Après avoir reçus mes d'ordres de mission nous nous sommes immédiatement dirigés au point de départ de la patrouille, nous avions 6 clics a faire en plein bois, dans un petit sentier horrible. Nous avions retirer le toit du jeep et toute les branches de la foret nous tombait dessus, c'était très accidenté comme terrain! c'était génial!! On avais enfilés nos vision de nuit on pouvait voir notre parcourt comme jamais on l'avait vue avant, en vert pale illuminent! Je me sentais très libre en particulier parce que je n'avais pas ma ceinture de sécurité... ha mais, je voulais la mettre mais il n'y avait pas l'adapteur femelle pour que je puisse la fixer, la pièce était manquante! vraiment pas grave je me disais. Arrivés au point de dislocation, au croisement de la route ou nous devions continuer le reste de la patrouille a pied,nous avions pris bien soin de camoufler notre jeep. On avais 2 kms a faire, le bois était très sec il n,avait pas mouillé une goûte d'eau depuis 2 semaines, plein d'insectes et de petits rats de tout genre, c'était pareil comme au Vietnam! On a marché tactique tout la patrouille, lentement et avec nos visions de nuit, qui multipliait par deux notre intérêt. Toujours cette même nuit, nous n'avions jamais pris contact avec l'ennemi nous y sommes revenu bredouille,impossible de trouvé les anglais il était trop bien cachés,bande de cons!

Il était tard dans la nuit lors ce que nous sommes revenu au camp de basse et que déjà la,très bientôt une nouvelle journée allait commencer. Le matin avec le capitaine dans le poste de commandement devant la carte topographique, il me confiât un secteur précis a patrouiller, que les anglais s'apprêtait a établir une tête de pont dans le but de nous attaquer. Comme toujours c'était fort simple un vrai jeu d'enfant! Mais ... je ne me contentais pas de suivre a la lettre les limites du secteur donc j'étais responsable. Nous avons poussés jusqu'à traverser nos lignes pour ce retrouver du coté de l'ennemi,c'est la que j'ai trouvé un poste de communication adverse en construction. Je n'avais qu'une seul idée en tête! leur faire du troubles !! couper leur câbles, voler des pièces d'armes, voir l'un de leurs véhicules, leurs tirer dessus en les humiliants. Foisy et Voyer n'étaient pas d'accord puisque ce n'étais pas notre mission d'engager les anglais hors de notre secteur en plus... hey! lets go les gars !!!! J'ai essayé de rejoindre mon poste de commandement pour leur faire part de ma découverte et de mes intentions mais, ma radio ne le permettait pas! du vieux stock qui marche presque jamais! Nous sommes retournés a notre basse et j'ai demandé au capitaine si je pouvais y retourné faire du tapage, le capitaine me donna carte blanche, devant Foisy et Voyer, qui maintenant était impatients de reprendre la route avec une toute nouvelle mission.

Nous avons franchis les lignes ennemies par la route principale comme des malades , arrivé a leur point de contrôle routier nous leurs avons tirés dessus avec nos munitions blanches. On roulait a vive allure et j'avais un pied sur le garde du coté de la jeep, vue que je ne pouvais pas m'attacher ça m'avait donné une position de tir parfaite et je l'ai est bien poivré ces anglais! Ils ont essayés de nous suivre mais nous les avions écartés. Nous aussi nous étions écartés, nous ne savions plus exactement ou nous étions sur la carte, on a jamais retrouvé le poste de radio ennemi. On est tombés par hasard sur une troupe de chars américains, des Abrahams, . Notre jeep ressemblait a un moustique dans leur campement et avec leur radio performante fixé dans un Bronco, nous avions pu communiquer avec notre basse pour donné nos coordonnées. J'ai demandé par hasard a l'américain s'il savait ou les anglais avaient établis leur poste de commandement, il me la donné avec un petit sourire ! Quand je suis retourné a la jeep, j'ai dis aux boys qu'on allait faire un massacre, que j'avais les coordonnées du poste de commandement anglais! et que ce n'est qu'a quatre kilomètres dans cette direction, allons-y !!!!

A suivre...