Les Métropolitins toujours ce matin ,très enthousiaste après le départ imprévue et radical des gangs de rues, ont trouvé la motivation de s'enliser dans un grand ménage collectif . Ou tousse en coeur, ils constatent a qu'elle point la ville semble calme et paisible après la tempête . Ils ont tousse apprécié le résulta flagrant des actions dirigé par le sergent major et de son détachement. Lubrun lui, ce fessait discret devant la population ,il ne voulais pas attirer l'attention, il quitta les lieus a l'anglaise rapidement avec son équipe . Dans son quartier général,sur l'ile St-Hélaine, les hommes de Lubrun étudiait des dossiers que le chef de police Baillarge leurs exposait . Ces fameux dossiers était ceux de la criminalité , la mafia ,les motards , ont avait accès a toute les photos, les noms des pires bandits , toute la mafia était identifié et étiqueté . Lubrun avait jouer son as de trèfle contre les gangs de rue , il lui restait deux cartes , l'as de pique et de carreau . Le sergent appréciait l'aide du chef Baillarge , ce dernier, posait toujours des questions pertinentes ,il donnait toujours une aide spontanée résultant d'initiatives professionnels .
L'équipe du sergent avait besoin de son aide précieuse , de ses connaissances sur le terrain,son terrain . Baillarge connaissait tout les criminels actifs de la régions Métropolitaine . Le chef de police savait que de l'argent ,beaucoup d'argent circulait d'une main a l'autre , comme ont circule sur une autoroute. Le sergent major voudrait avec son détachement porter un coup fatal contre les plus gradés des organisations criminels,le plus rapidement que possible. Lubrun avait pour ordres de déclarer la loi martial aux Québécois d'ici un ou deux jours . Toujours selon Lubrun ,la loi martial est l'une des pire sanction a infliger a une nation . Elle avait pour effet ,entre autre d'attirer tout les petits soldats de fortunes, des mercenaires etc qui viendront mettre un maximum de désordres avec leurs tactiques personnel dérivé. Lubrun veut ce débarrasser du crime majeur avec un seul as.
Dans le mandat émit par le grand chef fédéral Royal , il fait état de rayer la prostitution et la drogue du territoire. Ne voyant aucun actions possible a la réalisation de cette ordre , Lubrun , avec aucunes éducations scolaires , ne connaissant pas la définition du mot rédaction, écriva a Monsieur Harpet un rapport stimulent ses recommandations personnels.
Mon très honorable Monsieur Harpet,ici vôtres très dévouer sergent majour Lubrun, je vous conseil personnellement pour le problème de la prostitutions , de la légaliser. Pour plusieurs points positifs . Oui évidament, même légal et contrôlé soigneusement , il y auras quand même une contre bande qui s'organisera ,comme les cigarettes . Alors pour régler cette anticipation,vous n'avez qu'à exécuter chaque filles trouver dans la rue ,comme en Colombie . Également pour la drogue ,mon très honorable, si vous voulez faire la guerre a la drogue, vous devez sans procès,décapiter chaque trafiquants qui voudrait importer de la drogue . Lubrun fessait exprès pour faire des fautes d'orthographes ,pour que Harpet comprenne que le système d'éducation s'effondre au Québec,que les professeurs ne font pas convenablement leur travail :) Maaaiiis
Mr Harpet ce souciait guère de ces petits détails qui appartenait aux Québécois. Comme toujours ,ce rapport écrit par Lubrun , se retrouveras sur un bureaux près d'une fenêtre ,empilé sur une monstrueuse pile de dossiers et de papiers,qui bientôt ,d'autre viendront si empiler : )
Voici mes recommandations Mr Harpet je vous conseil d'en parler avec les Navaisricains avant d'agir, mais je crois qu'ils sent mettent plein les poches avec tout ça.
Lorsque Lubrun avait patrouillé dans les rues un soir plus tôt, il avait été foudroyé par le regard magique d'une femme de gang . Ses yeux était si persan que Lubrun avait figé de panique. Lorsque le sergent étais pris de panique, une très agréable chimie se transformait en lui . Il devenait d'une souplesse d'esprit égal a un grand réveil . Cette nuit la Lubrun avait compris qu'il ne pouvait combattre ces éléments ...
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