-10 / 4 - Métropolis no 1 de ?

IL est quatre heure vingt deux , un vent faible, frisquet par endroit, des nuages gris qui quelque fois deviennent blancs lorsqu'ils se dispersent un peut ,laissant le quart de lune agir faiblement de sa vieillesse . Un coup de feu a très forte détonation viens faire prendre un envole spontané a des dizaines d'oiseaux , en plein centre ville ,coin Dorchestery et Ste-denise sur Latourelle , un agent de la Sécuri-korp viens de trouver instantanément la mort dans ses fonctions. Devant la banque Irael/mtl ou il se vide rapidement de son sang, donc la mare aboutissait comme un petit ruisseaux a trois fourches, dans un vieux canal d'égout presque malpropre,en bordure de la rue .


Des sirènes retentissent brusquement ,les forces de l'ordre n'arriveront pas assez vite pour sauver le jeune homme en uniforme de vingt cinq ans , qui viens d'êtres atteint a la tête par un projectile de fort calibre, d'un truand en manque de drogues qui venait de poivrer son confrère . Le numéro trois du faubourg blinder remplie de richesses a du décamper a très vive allure, selon ses ordres établies. Les forces de la paix ,armes aux poing le doigt sur la détente , descendue hâtivement de leur auto patrouille clignotante de partout ,prenait en chasse a pied le truand qui avec ses gros sacs d'argent salement volé a presque de la difficulté a ce déplacer
Sa mince longueur d'avance lui suffira pour fuir le lieu du crime ,les policiers qui tirent des coups de feu de désespoirs a travers une population nocturne composé de prostituées, de droguées ,des journalistes de la press encore endormit, quelques avocats vicieux et des touristes perduent



, et surtout,beaucoup,beaucoup de jeunes gangs caché dans les ruelles,prêt a attaquer tout policiers qui aurait l'audace de s'y présenter en petit nombre. Dans toute cette confusions, qui ce déroule trop rapidement, la police ne parvient pas a procéder au châtiment du meurtrier, qui disparaît dans l'ombre. Le cent une ème meurtre venait d'êtres enregistré ,dans la grande communauté de Métropolis , Métropolis ville culturelle, libre, d'une beauté orgueilleuse,aux attraits radieux. Toujours Métropolis, cité du crime organisé , son port important ,la grande passoire de la facilité, toute ses très belle filles presque nue joncent les rues importantes , un va et vient étourdissant,donc les sans abris y cherche refuge et chaleur .
Syl Baillarge, Baillarge comme il veut qu'ont l'appel ,

dirige toutes les opérations policières de la communauté urbaine de Métropolis, depuis huit ans ,il combat le crime avec un grand jugement,il parviens toujours a garder une fragile équilibre entre les nombreux rebondissements des hautes sphères criminelles et gouvernementales. Depuis quelques années, Baillarge et ses troupes ont de plus en plus de difficultés a garder la population en sécurité dans leurs foyers. Déjà débordé par les vielles coutumes des motards et de la mafia conventionnel classique et cultivée, les jeunes dans les rues en groupes, avec la pire des attitudes bouleversent toutes actions, de toutes part. Une nouvelle réalitée donc tout le monde en payent les pots cassés. De la violences,toujours plus de violences comme un effets domino, toujours plus de drogues ,l'argent , l'argent des contribuables qui volent en fumer .


La fameuse équipe d'élite Karkagossk, fut un échec, elle s'enlisait dans des opérations muscler dans des bars de danseuses innocents ,donc les maîtres du crime les avait orientés. Le wournement Harpet ( pour les intimes) le grand, reçus un message texte de Baillarge qui demandait secours.

Selon Harpett, un exemple de démocratie devrait vraisemblablement êtres étudier, pour ce qui est de l'aide Navaisrinaine ,Harpet ,savait qu'il pouvait entré dans l'tas en vomissant partout et, pauser les questions après. Comme l'histoire de l'homme se répète, Harpet et ses claquettes en chaussettes regardait du coté militaire , une solution final ...